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Ne pas savoir — 3 commentaires

  1. Chapeau bas Robert! effectivement ” ça voir ” , cet espace ouvert du ça, du cela dans lequel le jeu de la vie se déroule, nous sommes cet espace de liberté où le vide et le plein ne font qu’un, le savoir et le non savoir se tiennent la main, ils ont tous deux la même énergie mais effectivement notre conditionnement nous porte à préférer le savoir, quelque peu plus confortable pour notre égo, et pourtant quelle tranquillité de se laisser couler dans le mystère, le non savoir et l’innocence, la pureté, le silence même de la vie.

    Merci pour cette attention sur ce qui nous “dérange” et nous éveille !

    • “Comment ou quoi faire quand quelqu’un… ?” Eh oui, on croit encore que ce qui serait à faire, c’est changer l’autre, faire en sorte qu’il change ! Pourtant, il ne s’agit jamais – jamais – de cela ! Les mots, les actes ou le positionnement d’autrui nous affecte d’une certaine manière, ce qui n’est qu’une fois de plus, et nous résistons encore et encore à reconnaître ce qui se passe alors vraiment en nous. Tant que nous ne nous serons pas arrêtés là, tant que nous ne l’aurons pas reconnu, il se trouvera toujours cet autre dont nous déplorerons le comportement.

      Donc, il nous faut remplacer la question “quoi faire quand l’autre… ?” par celle-ci: “Que se passe-t-il en moi, qu’Est-ce qui est là ressenti, quand l’autre fait ceci ou cela que je déplore ?” Être alors attentif à la réponse et allez un peu plus loin: “Puis-je simplement accepter maintenant ce ressenti sans rien en penser ?”

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